L'application STOP COVID fait l'objet d'un vote à l'assemblée ce mercredi 27 mai 2020. Elle pose clairement la question de la protection des données personnelles et de l'instrusion de l'état dans la vie privée des citoyens...
Rappelons que l’application a pour but de permettre à chaque utilisateur qui apprend sa contamination de prévenir ceux qu’il a croisés dans les deux semaines précédentes, pour qu’ils puissent prendre leurs précautions.
Pour que le système fonctionne, les personnes contaminées doivent se déclarer avec un code fourni par le médecin ou le laboratoire, comme l'explique les services du gouvernement. Ensuite, le traçage utilise la technologie Bluetooth, qu’il ne faut donc plus désactiver une fois l’application installée.
Si vous croisez une personne contaminée (et qu’elle s’est signalée dans l’application), les utilisateurs reçoivent une notification “Risque d’exposition au coronavirus”.
Les autorités confirment qu'il n'y aura pas de géo-localisation et que la durée de vie de l'application sera limitée à 6 mois après la fin de l'urgence sanitaire.